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Nicholas Kasirer nommé à la Cour d'appel du Québec

±Ê³Ü²ú±ô¾±Ã©: 5 August 2009

La nomination suit de quelques semaines la fin de son mandat de doyen à la Faculté de droit

Nicholas Kasirer, ancien doyen de la Faculté de droit de l’Université º£½ÇÉçÇø, a été nommé juge à la Cour d'appel du Québec, le plus haut tribunal de la province. La nomination, qui entre en vigueur immédiatement, a été annoncée par le ministre de la Justice et procureur général du Canada, Rob Nicholson. L’honorable Nicholas Kasirer remplace ainsi madame la juge Louise Otis, qui a démissionné en avril.

Diplômé de la Faculté de droit de º£½ÇÉçÇø (1985), monsieur le juge Kasirer y enseignait depuis 1989, et en a été le doyen de novembre 2003 à mai 2009.

“Nous sommes incroyablement fiers de M. Kasirer et le félicitons pour cette nomination significative, une reconnaissance de son talent remarquable, a déclaré Heather Munroe-Blum, principale et vice-chancelière de l’Université º£½ÇÉçÇø. Après une carrière marquante à º£½ÇÉçÇø s’échelonnant sur 20 ans, il laisse un héritage extraordinaire et se démarquera certainement en tant que membre éminent de la magistrature. »

Natif de Montréal, Nicholas Kasirer est spécialiste en droit privé du Québec, en droit comparé, en droit du bien familial, en droit et langue et en théorie du droit. Entre 1996 et 2003, il a dirigé le Centre de recherche en droit privé et comparé du Québec, où il était codirecteur d’une édition critique du Code civil du Québec.

Monsieur le juge Kasirer a reçu le Prix Hessell Yntema Award en droit comparé, le Prix de la Fondation du Barreau du Québec, le Prix John W. Durnford d'excellence en enseignement du droit, ainsi que la Médaille David Johnston de la º£½ÇÉçÇø Alumni Association. Il a été nommé titulaire d’une Chaire James º£½ÇÉçÇø par l'Université en 2002, et été élu membre de la Société royale du Canada en 2008.

Il rejoint l’honorable Yves-Marie Morissette, également ancien professeur de droit à º£½ÇÉçÇø et doyen de la faculté (1989 à 1994), dont l’intelligence et l’intégrité marquent les jugements de la Cour d’appel depuis 2002.

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