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L'exposition interactive InSomnolence montre que le sommeil est plus social qu'il n'y paraît

Idées de reportage de l'Université º£½ÇÉçÇø.
The Lantern by Natalie Fizer, Richard Sommer, Henry Tan and Ding Yun Huang. Credit: Henry Tan / La lanterne de Natalie Fizer, Richard Sommer, Henry Tan et Ding Yun Huang. Photo : Henry Tan
Image par Henry Tan.
InSomnolence, an interactive exhibition on until July 13 in Montreal. Credit Paul Litherland / InSomnolence, une exposition interactive présentée jusqu'au 13 juillet à Montréal. Photo : Paul Litherland
Radio Insomnia by Anabelle Lacroix and Nicolas Montgermont. Credit: Anabelle Lacroix / Radio Insomnia d'Anabelle Lacroix et Nicolas Montgermont. Photo : Anabelle Lacroix
In Dreams by Dayna McLeod. Credit: Paul Litherland / Dans mes rêves par Dayna McLeod. Image : Paul Litherland
Fall (sss) by Yoojin Lee. Credit: Paul Litherland / Chute(sss) par Yoojin Lee. Image : Paul Litherland
±Ê³Ü²ú±ô¾±Ã©: 5 July 2023

Qu'il s'agisse de la tentative d'un artiste d'apprivoiser les troubles du sommeil à l'aide de l'IA, de sons et d'objets en tant qu'artefacts des rêves d'autres personnes ou d'une station de radio qui transforme la peur de l'insomnie en curiosité et en écoute collective, l'exposition du collectif de recherche pose la question suivante : en quoi le sommeil nous rapproche-t-il ?

Le manque de sommeil est souvent traité comme un problème individuel et isolant, plutôt que comme un problème nécessitant une attention et une prise en charge sociales. Au milieu d'une infinité d'outils et de conseils, des applications de sommeil aux experts de l'hygiène du sommeil, les gens sont souvent laissés à eux-mêmes lorsqu'il s'agit d'un repos perturbé.

Explorant les aspects sociaux qui influent sur le sommeil, InSomnolence est une exposition interactive présentée jusqu'au 13 juillet à Montréal et réalisée par des artistes locaux et internationaux en collaboration avec des chercheurs de quatre universités montréalaises.

« L'exposition examine les expériences quotidiennes du sommeil, depuis les rythmes de productivité et de repos jusqu'à la fatigue et la médicalisation du sommeil, en passant par les expériences individuelles des rêves, »Ìý explique Alanna Thain, professeure à l'Université º£½ÇÉçÇø, qui a codirigé le projet avec Aleksandra Kaminska, professeure à l'Université de Montréal. Dans certaines installations, les visiteurs sont invités à s'installer confortablement et à s'endormir dans des espaces oniriques pour expérimenter les limites du sommeil. »

« Au cours des deux dernières années, nous avons développé des situations de sommeil uniques et expérimentales par le biais d'expériences artistiques et de recherche. Ces installations combinent des outils et des connaissances issus des arts, des sciences humaines et des sciences qui peuvent enrichir notre compréhension du sommeil et du traitement des troubles du sommeil. Elles montrent également que le sommeil est beaucoup plus social qu'il n'y paraît - par le biais d'installations médiatiques, de performances, de sons et de design - et invitent le public à prendre ses habitudes nocturnes de sommeil dans des situations inattendues. »

par est présentée jusqu'au 13 juillet 2023 à l'Agora Hydro-Québec de Cœur des sciences, Hexagram-UQAM, au 175, avenue du Président-Kennedy.

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