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Une nouvelle application et un premier registre nord-américain s’ajoutent à l’arsenal thérapeutique contre l’urticaire chronique

Une chercheuse de l’Université º£½ÇÉçÇø a participé à la mise au point de nouveaux outils destinés aux Canadiennes et Canadiens atteints de la maladie
±Ê³Ü²ú±ô¾±Ã©: 27 September 2024

, une maladie de la peau nuisant à la qualité de vie, aura lieu le mardi 1er octobre prochain.

Les Canadiens et Canadiennes aux prises avec l’urticaire chronique ont désormais deux nouvelles ressources à leur portée : le premier registre nord-américain de personnes atteintes d’urticaire et une nouvelle application visant à optimiser les soins. Ces outils ont tous deux été conçus en partie par une chercheuse de l’Université º£½ÇÉçÇø.

La , professeure adjointe au Département de médecine de l’Université º£½ÇÉçÇø, nous en dit plus sur l’urticaire et sur deux initiatives auxquelles elle participe :

  • , qui sera offerte au Canada dès le mois d’octobre, permet aux patients et patientes de transmettre, en temps réel, des données sur leurs symptômes et la réponse à un traitement à leurs médecins. Ces derniers sont ainsi mieux outillés pour personnaliser les soins et faire le suivi du traitement.
  • , le premier registre de patientes et patients atteints d’urticaire chronique à voir le jour en Amérique du Nord, a été lancé à Hamilton en 2023 et fait actuellement l'objet d'un examen à º£½ÇÉçÇø. Ce registre compile des données précieuses provenant de personnes atteintes d’urticaire chronique, aidant ainsi les scientifiques à mieux comprendre la maladie, à évaluer les traitements et à améliorer les soins.

« L’urticaire chronique ne cause pas seulement des démangeaisons cutanées – elle peut entraîner une enflure importante, nuire au sommeil et altérer la santé mentale. En outre, les poussées soudaines d’urticaire mènent souvent à l’isolement social, à l’absentéisme et à des visites au service d’urgence. Cette maladie touche environ 65 millions de personnes dans le monde. Malgré sa prévalence élevée, elle est souvent sous-diagnostiquée, ce qui retarde l’administration de soins pouvant améliorer la qualité de vie des patients », explique la Dre Netchiporouk.

La Dre Netchiporouk est professeure adjointe à la Division de dermatologie et à la Division de médecine expérimentale de l’Université º£½ÇÉçÇø, dermatologue au Centre universitaire de santé º£½ÇÉçÇø, scientifique novice à l'Institut de recherche du Centre universitaire de santé º£½ÇÉçÇø, fondatrice et directrice de Montreal Derm FilEZ et directrice régionale (Québec) de l’Association canadienne de dermatologie.

La Dre Netchiporouk peut mettre les médias en contact avec des patients atteints d'urticaire qui peuvent partager leur expérience personnelle de la maladie et expliquer comment les nouvelles ressources font la différence.

elena.netchiporouk [at] mcgill.ca (anglais, français)

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