17e édition du colloque annuel de l'ADELFIES
« Votre coeur greffé en moi. Quand la rencontre se fait littéraire »
⭐️ APPEL À COMMUNICATIONS ⭐️
Voir l'appel à communications complet en pièce jointe
17e édition du colloque annuel de l'ADELFIES
⭐️ APPEL À COMMUNICATIONS ⭐️
Voir l'appel à communications complet en pièce jointe
Comme chaque année, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain recrute des tuteurs et tutrices de français dans le cadre du programme «» destiné aux personnes immigrantes.
Pour connaître ce programme et postuler, veuillez consulter le fichier pdf ci-joint.
La date limite est le 15 décembre.
Le salaire est de 23 $/heure.
Avez-vous une idée d’un projet qui ne rentre pas dans les cadres traditionnels de la recherche? Une idée radicale et audacieuse qui dépasse les frontières disciplinaires? Ou ressentez-vous le besoin d'explorer, de créer et d'apprendre d'une manière inventive?
Alors postulez et courez la chance d’être sélectionné.e pour le programme de résidence BLUE (Beautiful, Limitless, Unconstrained Exploration) à Building 21.
Les projets en français sont les bienvenus!
Matthew Wilson
Traduit de l’anglais (Royaume-Uni) par Audrey Coussy
Le laboratoire d'Ollivier Dyens est en nomination pour les QS Reimagine Education Awards.
Les QS Reimagine Education Awards récompensent les approches pédagogiques pionnières qui améliorent les résultats d'apprentissage et l'employabilité, ainsi que les méthodes efficaces d'enseignement de la durabilité, dans le but d'équiper plus d'un milliard de futurs apprenants dans le monde entier pour leurs projets futurs.
Un jour, une petite fille est passée devant . A promis à sa maman qu’elle étudierait là. Parmi les bâtiments de pierres et de magie, elle avait trouvé sa place. Cette petite fille, c’est moi. Tess Guillou.
Viennent de paraître : deux dossiers sous la codirection et la direction d'Arnaud Bernadet
Études françaises, vol. 59-3, Presses de l'Université de Montréal.
Arnaud Bernadet, Ian Byrd et Élisabeth Chevalier (dir.)
Ollivier Dyens était conférencier au , tenu en marge de l'assemblée générale de l'ONU, à New York, le 22 septembre dernier.
Dans cet essai incontournable qui lui a valu le Grand Prix du livre de la Ville de Montréal en 1977, Gilles Marcotte examine l’œuvre de quatre grands écrivains des années 1960 – Gérard Bessette, Marie-Claire Blais, Réjean Ducharme et Jacques Godbout – pour caractériser la modernité du roman québécois, lequel s’éloignerait du « grand réalisme » à la française et de l’Histoire pour explorer les aléas du quotidien et les possibilités du langage.
Le DLTC félicite Xavier Phaneuf-Jolicoeur dont la thèse de doctorat,Faire le mort. L’image de la mort feinte dans la poétique de trois romans français d’après-guerre : la « trilogie » de Samuel Beckett, Moderato cantabile de Marguerite Duras et La route des Flandres de Claude Simon, a été récompensée par le Arts Insight Dissertation Award.
Chaque année, la Faculté des Arts remet deux de ces prix: l'un pour la meilleure thèse soutenue dans le domaine des humanités, l'autre pour la meilleure thèse soutenue dans le domaine des sciences sociales.
Bien que l’équipe mcgilloise ne soit pas montée sur le podium aux Jeux de la traduction cette année, elle a admirablement tiré son épingle du jeu dans l’épreuve de traduction individuelle, avec une 2e place vers le français (Béatrice Poirier-Pouliot) ET vers l’anglais (Devyn Shaughnessy). Outre Béatrice et Devyn, l’équipe était composée de Kiara Andreani-Labelle, de Noah Bourdon, de Carl Cenerelli et d’AnnaLeeper. Lyne Jolette de l’Education permanente a aidé l’équipe à s’entraîner. Cette 18e édition des Jeux de la traduction avait lieu à l’Université Laval, du 15 au 17 mars.
Arnaud Bernadet est professeur au département des littératures de langue française, de traduction et de création de l’Université depuis 2010. Formé à la linguistique française et à l’épistémologie littéraire, ses travaux portent sur le langage, la littérature et l’art, les enjeux culturels et politiques des œuvres de création. Ces dernières années, il a participé activement aux débats publics sur la liberté d’expression en intervenant dans les médias au Québec et à l’étranger (Radio-Canada, Le Devoir, La Presse,Affaires Universitaires, Mediapart).
Dans qui paraît dans la collection «L’Inconvénient» (chez Leméac), Isabelle Arseneau réinterroge le sens de son métier, à lalumière d’une expérience de lecture troublante vécue dans son enfanceainsi que de son propre rôle de mère.