La professeure Ramanujam et le professeur Mégret nommés co-directeurs du Centre sur les droits de la personne et le pluralisme juridique.
La ¹ó²¹³¦³Ü±ô³Ùé de droit a le plaisir d'annoncer que le professeur Frédéric Mégret et la professeure Nandini Ramanujam entameront un mandat en tant que codirecteurs du Centre sur les droits de la personne et du pluralisme juridique (CDPPJ) le 1er février 2021. Leur mandat prendra fin le 30 juin 2024.
La professeure Nandini Ramanujam est directrice intérimaire du Centre depuis l’été dernier. Elle est la chercheuse principale du groupe de recherche sur l’État de droit et le développement économique. La professeure Ramanujam est la représentante pour º£½ÇÉçÇø du Réseau Scholars at Risk et elle siège sur le comité directeur du Réseau au Canada.
Les intérêts de recherche et d’enseignement de la professeure Ramanujam incluent l’État de droit et le développement, les institutions et la gouvernance, la justice économique, la sécurité et la sûreté alimentaires, le rôle de la société civile et des médias dans la promotion de l’État de droit, ainsi que les interconnexions entre la théorie et la pratique sur le terrain en matière de droits de la personne.
Avant de rejoindre º£½ÇÉçÇø, la professeure Ramanujam s’est impliquée dans la réforme systémique de l’éducation supérieure dans les anciens États communistes de l’Europe de l’Est et l’Union soviétique.
Le professeur Frédéric Mégret détient une Chaire William Dawson à l'Université º£½ÇÉçÇø. Il a également été titulaire de la Chaire de recherche du Canada en droits de la personne et pluralisme juridique entre 2006 et 2015.
Précédemment, il était professeur adjoint à la ¹ó²¹³¦³Ü±ô³Ùé de droit de l’Université de Toronto, après avoir été boursier Boulton à l’Université º£½ÇÉçÇø et Associé de recherche à l’Institut universitaire européen de Florence.
Le professeur Mégret s'intéresse à la justice pénale internationale, le droit international des droits de la personne, le droit international humanitaire, le droit des organisations internationales, la justice transitionnelle, le droit criminel et le droit international général. Il travaille actuellement sur un ouvrage sur les diasporas et le droit international avec Larissa van den Herik (Université de Leyde).
« Nos deux collègues ont d'énormes contributions à apporter au CHRLP et j'ai été ravi quand ils ont proposé cette co-direction. Nous pourrons ainsi bénéficier de leurs talents complémentaires, a déclaré le doyen Robert Leckey. Les programmes du CHRLP, qui envoient nos étudiant.e.s à travers le monde et amènent de nombreux universitaires et praticien.ne.s des droits de la personne à º£½ÇÉçÇø, sont pour nous source de grande fierté. »