En ces temps de réchauffement climatique, de nombreuses espèces ont la bougeotte, ce qui ne va pas sans causer des maux de tête aux décideurs de ce monde. Ainsi, à la faveur des changements dans les aires de répartition des moustiques ainsi que des tiques et des chauves-souris porteuses de maladies, des affections telles la malaria et la maladie de Lyme s’immiscent dans de nouveaux territoires et prennent de court les systèmes de soins de santé.
Les invasions biologiques sont une menace sérieuse à l’environnement, à la ǻ徱é et au bien‑être humain, qui entraîne une dégradation des écosystèmes ainsi que des coûts économiques de l’ordre de plusieurs billions d’euros à l’échelle mondiale. Une dirigée par l’Université lève le voile sur les coûts économiques exorbitants que ces invasions occasionnent au sein de l’Union européenne.
C’est en s’intéressant à la taille des organismes vivants que des scientifiques de l’Université et de l’Université de Colombie-Britannique ont découvert que la biomasse terrestre, soit la masse de l’ensemble des organismes vivant sur Terre, se concentrait aux deux extrémités du spectre de taille.
De nombreuses espèces de mammifères ont tendance à être de plus grande taille et à avoir des membres plus courts dans les régions froides que dans les régions chaudes, ce qui a pour effet de réduire la perte de chaleur. Exception à cette règle connue sous le nom de loi de Bergmann : la chauve-souris, dont le corps est peu volumineux, peu importe le climat.
Grâce à des émetteurs radio, les scientifiques ont maintenant une nouvelle compréhension du comportement des pinsons terrestres moyens des îles Galapagos. Une éٳܻ dirigée par des chercheurs de l’Université révèle que ces oiseaux parcourent quotidiennement une distance équivalente à 30 terrains de soccer.
Des chercheurs de l’Université ont découvert une façon d’effectuer le suivi d’animaux génétiquement modifiés au moyen des transgènes qu’ils répandent dans l’environnement. Ils disposent ainsi d’un outil puissant pour la localisation et la gestion des animaux génétiquement modifiés qui s’échappent ou qui sont relâchés dans la nature.
Des chercheurs de six pays, dont Camilo Alejo et Catherine Potvin, du Département de biologie de l’Université , se sont intéressés à l’importance des territoires autochtones pour l’ٳéԳܲپDz des changements climatiques au Panama et dans le bassin de l’Amazone.
Des chercheurs de l’Université ont montré qu’une structure neuronale que l’on croyait pathologique était plutôt bénéfique, puisque sa présence augmentait la capacité des cellules de transmettre de l’information et était liée à une amélioration de l’apprentissage de certaines tâches.
Les changements climatiques exacerbent des problèmes qui ont déjà mené de nombreuses espèces animales au bord de l’extinction, notamment la perte d’habitat et les variations de température. Mais les scientifiques peuvent-ils prédire quels animaux pourront s’adapter et survivre ? À l’aide du séquençage génomique, des ont montré que certains poissons, comme l’épinoche à trois épines, pouvaient s’adapter très rapidement à des changements saisonniers extrêmes.
Victoria Glynn, la représentante du programme public de GARM (Graduate Association of the Redpath Museum), a remporté la prestigieuse .
Sa voix et son visage sont connus depuis le lancement en 2018 du Pacte pour la transition. La biologiste Catherine Potvin, professeure au Département de biologie à l'Université , est une spécialiste du climat et de l'écologie tropicale. « Assez rapidement dans ma carrière, je me suis mise à me pencher sur les solutions aux changements climatiques », révèle celle qui a fait sa thèse dans les années 1980 sur ce sujet et que rencontre l'animatrice Sophie-Andrée Blondin.
Une nouvelle éٳܻ, réalisée par l’Université , laisse entendre que la ǻ徱é aquatique est fragilisée par l’utilisation du Roundup, ce controversé herbicide très populaire chez les agriculteurs partout dans le monde.
À l’aide d’une nouvelle « technique de pêche » microscopique, les scientifiques de l’Institut de recherches cliniques de Montréal (IRCM), de l’Université de Montréal et de l’Université ont réussi à capturer des milliers de protéines jouant un rôle de premier plan dans la formation du squelette cellulaire, appelé « cytosquelette ». Ce réseau de filaments protéiques reliant le noyau à la membrane cellulaire détermine la forme de la cellule – c’est là sa principale fonction – mais contribue aussi à d’autres tâches, notamment la contraction musculaire.
Les écosystèmes sont issus d’une multitude d’interactions complexes. Ces réseaux écologiques sont soumis à la réorganisation en raison d’extinctions et de colonisations causées par l’homme, dont le changement climatique et la destruction de l’habitat. Dans un article publié cette semaine dans la revue Nature Ecology & Evolution, des chercheurs de l’Université et de l’Université de la Colombie-Britannique ont mis au point une nouvelle théorie visant à comprendre le processus entourant la réorganisation des réseaux écologiques complexes.
Salle de presse
Une éٳܻ pourrait nous aider à comprendre des troubles du développement tel l’autisme
Tout comme nous parlons autrement lorsque nous nous adressons à un bébé, l’oiseau adulte modifie son chant lorsqu’il gazouille pour un oisillon. Et selon des chercheurs de l’Université , l’activité cérébrale que provoquent ces gazouillis chez le petit pourrait nous éclairer sur l’acquisition du langage et certains troubles du développement chez l’être humain.