Les membres du groupe ont récemment publié un billet de blogue avec Cell Mentor, et un article dans Trends in Ecology.
se déroule dans tout le Canada du 20 au 26 septembre, et de nombreuses activités sont organisées à Montréal même. Pour la septième année consécutive, la bibliothèque de prévoit une série d'activités. Vous trouverez plus de détails sur les événements dans le (en anglais seulement) .
Le cladocère Scapholeberis mucronata, un zooplancton d’eau douce répandu au Québec et en Amérique du Nord, fait partie des quelques espèces résistantes à de fortes concentrations de glyphosate dans l’eau. PHOTO : Marie-Pier Hébert
Vous êtes-vous déjà demandé ce que font nos conservateurs ? Même si nous sommes fermés, ils travaillent dur pour assurer la sécurité de nos collections, répondre aux demandes de renseignements à leur sujet et travailler sur des projets de gestion des collections.
Dans l'article ci-dessous, apprenez-en davantage sur le projet CAML. À lire absolument !
Des chercheurs de l’Université pensent avoir mis au jour une manière d’améliorer la synthèse de biomatériaux qui pourraient jouer un rôle crucial dans l’administration de médicaments, la régénération tissulaire, ainsi qu’en nano-optique et en nanoélectronique.
Ada McVean, rédactrice scientifique et étudiante en maîtrise, explique CRISPR aux enfants dans un TikTok dans le cadre d'un stage avec l'Unité de Vulgarisation Scientifique de pour le programme PROMOTE du CRSNG! Ada fait actuellement sa maîtrise au sein dude l'Université , où elle fabrique des oligonucléotides anti-CRISPR.
Si vous écoutez des oiseaux chanteurs, vous remarquerez qu’ils répètent des éǻ徱 ou des phrases. Chaque phrase est composée de différents sons regroupés. Selon une étude menée par des chercheurs de l’Université , les phrases des chants de nombreuses espèces d’oiseaux ont une structure semblable à celle de la parole chez l’humain. Du moins à certains égards.
La taille de la population maya qui habitait , cité des basses terres (située dans le Guatemala actuel), a varié au fil du temps en raison des changements climatiques. En effet, une étude dirigée par une équipe de l’Université et publiée récemment dans a mis en lumière des déclins marqués de la population tant pendant les sécheresses que lors des périodes de grande humidité.
Des chercheurs de l’Université ont montré qu’une structure neuronale que l’on croyait pathologique était plutôt bénéfique, puisque sa présence augmentait la capacité des cellules de transmettre de l’information et était liée à une amélioration de l’apprentissage de certaines tâches.
Le a été lancé le 30 juin 2021, et Outreach y participe ! L'Archipel Virtuel est la première édition numérique du festival.
Les lauréats et les finalistes du Principal's Prize for Public Engagement through Media 2021 ont été nommés en avril, y compris le groupe de vulgarisation de la faculté des sciences BrainReach.
*En anglais seulement
Les groupes de vulgarisation scientifique de ont célébré le bicentenaire de l'université par un événement d'une journée qui a attiré plus de 200 participants à 16 activités et présentations.
*En anglais seulement
Le groupe SMORES (Students at Outreach in Earth Sciences) a participé à la campagne de l'Odyssée des sciences 2021 en organisant une série d'ateliers en ligne d'une heure pour les enfants, qui ont captivé plus de 65 participants.
*En anglais seulement
Cinq équipes de reçoivent des fonds dans le cadre du nouveau Programme d’intégration de la génomique
Génome Québec a annoncé aujourd’hui les résultats de l’appel de propositions du Programme d’intégration de la génomique, volet santé humaine. Cinq équipes de issues de domaines diversifiés ont reçu des fonds totalisant près d’un million de dollars. Le programme se distingue en exigeant que les candidats affiliés à un institut de recherche aient également un partenaire externe non universitaire, soutenant ainsi les objectifs du programme de stimuler l’économie québécoise et d’encourager l’utilisation des technologies génomiques dans le système de santé québécois.
Une nouvelle étude menée par des chercheurs de l'Université et d’ révèle qu'entre 51 et 60 % des 64 millions de kilomètres de cours d’eau dans le monde cessent de couler périodiquement, ou sont à sec pendant une partie de l'année. C’est le tout premier effort de quantification empirique et de cartographie de la distribution mondiale des rivières et des ruisseaux intermittents.